Sandra venait d'emménager dans ce quartier d'apparence paisible. Cette femme, devenue maman récemment, cherchait avec son mari un coin paisible pour élever et voir grandir leur bébé. Sandra était une belle femme de 36 ans, d'apparence réservée et douce. Elle avait une beauté froide, ses cheveux noirs se démarquant de sa peau toute blanche. Son corps bien dessiné et aux belles formes bien proportionnées, surtout au niveau de sa poitrine généreuse, lui donnait une silhouette qui attirait tous les regards sur elle.
Sandra était en congé de maternité à cette période, occupant ses journées entre les tâches du quotidien et s'occupant de son bébé, l'allaitement lui prenant pas mal de temps. Sandra avait pris l'habitude de nourrir son bébé plus ou moins à la même heure.
Un jour, alors qu'elle était en train d'allaiter son bébé dans le salon, il faisait très chaud en ce jour d'été, Sandra avait ouvert sa fenêtre pour aérer la pièce. Elle était installée dans son canapé, les deux seins à l'air, son front et sa poitrine coulaient de sueur. Sandra tenait l'un de ses gros sein en main pour le maintenir correctement dans la bouche de son bébé. Juste à ce moment-là, elle se sentit observée de loin par trois silhouettes de l'autre côté de la rue. Le phénomène se répétait tous les jours de la semaine.
Plus tard dans la semaine, Sandra reçu un courrier dans sa boîte aux lettres. Sur le papier, il y avait une invitation demandant à Sandra si elle était intéressée à rejoindre le groupe de marche nocturne du quartier, dont les principaux participants étaient des femmes du quartier. Sandra en parla avec son mari, se disant que cela ne serait pas mal pour se remettre en forme, se changer les idées et, pourquoi pas, se faire de nouvelles amies dans le quartier.
Son mari lui répondit que c'était une bonne idée d'avoir un moment entre femmes pour elle, avant de se jeter sur Sandra et de lui peloter ses seins lourds gorgés de lait et lui faire l'amour.
Le lendemain, Sandra était à nouveau seule à la maison, après que son mari soit parti au boulot. Dans la matinée, plus ou moins à l'heure où Sandra allaitait son bébé, on sonna à sa porte. Sandra avait encore son bébé au sein, mais elle alla quand même ouvrir la porte. En ouvrant, elle trouva trois femmes devant elle. Les femmes se présentèrent à Sandra, c'étaient ses voisines, il y avait d'abord Camille, la présidente du comité de quartier 45 ans, la rousse femme au foyer et mère de deux enfants, ensuite Maria, la brune, 41 ans, également mère au foyer avec un enfant, et enfin Fanny la blonde, 52 ans, sans enfant et veuve depuis 1 ans. Elles essayaient de convaincre Sandra de rejoindre leur groupe, la complimentant sur son apparence et sur son bébé, tout en lui avouant qu'elles jalousaient sa jeunesse et qu'elles avaient besoin de sang neuf dans les rangs des marcheuses. Sandra se laissa convaincre et accepta de faire un essai.
Le lendemain en début de soirée, après avoir confié son bébé à son mari, Sandra rejoignit le groupe devant la plaine de jeux du quartier, qui était le point de rdv et le départ de la marche, il y avait au total 10 participants, dont 4 hommes et le reste, que des femmes. En ces nuits d'été, il faisait encore clair malgré l'heure tardive. Mais tous étaient équipés d'une lampe frontale ou lampe de poche et de brassards fluo.
Ce soir-là, le groupe allait faire un petit parcours de 5 km pour commencer à faire découvrir à Sandra les routes et les coins du village. Cette première marche fut très enrichissante pour Sandra. Elle discutait avec les autres marcheurs et en apprenait un peu plus sur l'histoire du quartier et des habitants. Sandra y prit goût et décida de continuer à participer à la marche nocturne, qui se déroulait sur deux soirées, une en début de semaine et l'autre en fin de semaine. La marche durait environ deux heures.
La deuxième semaine passa et Sandra, qui avait investi dans une tenue bien ajustée et moulante, recevait des compliments un peu déplacés de la part de Camille, Maria et Fanny. Ces dernières lui disant qu'elles la trouvaient vraiment sexy dans cette tenue et que parfois si Sandra s'ennuyait seule à la maison, elle était la bienvenue chez chacune d'elles, pour passer un agréable moment. Sandra ne savait plus où se mettre après avoir entendu cela.
Au fil de la quatrième marche, Sandra remarqua quelque chose d'étrange, au milieu du parcours, elle s'aperçut que Camille, Maria et Fanny étaient toujours derrière les autres et on ne les revoyait qu'à la fin du parcours. Sandra questionna les autres
trabzon escort marcheurs et on lui expliqua que cela avait toujours été comme ça depuis un an, sans lui donner plus d'explications.
Cela travaillait un peu Sandra, elle était curieuse et en discuta avec son mari. Qui se disait que Sandra s'inquiétait pour rien et qu'elles faisaient ce qu'elles voulaient.
La semaine suivante, la responsable du groupe avait décidé que la marche allait être augmentée et que le prochain parcours serait de huit km. Pour l'occasion, Sandra avait acheté une nouvelle tenue ; elle avait investi dans un ensemble rose, composé d'un maillot, à bretelles croisées dans le dos, mettant en valeur sa poitrine et d'un short court rose moulant ses fesses. La nouvelle tenue excita encore plus notre trio de cougars.
Le même scénario se répétait comme pour la dernière marche. Sandra, vraiment curieuse, ralentit le rythme et remarqua que le trio prenait un autre chemin en milieu de parcours. Elle décida de les suivre, les trois femmes ayant emprunté un petit chemin menant à un petit parc. Elles avaient déjà prises pas mal d'avance, Sandra les suivais discrètement. Nos trois cougars arrivèrent enfin au parc et regardaient autour d'elles afin de vérifier que personne ne les observait.
Elles s'installèrent sur une table de pique-nique qui était posée au milieu de la pelouse. Maria et Fanny, assises sur la table, commencèrent à s'embrasser avec fougue, tandis que Camille était à genoux sur la table.
Elle souleva les cheveux de Fanny pour dégager son cou, avant de le lécher. Pendant que Fanny échangeait des baisers avec Maria, elle lui baissa la tirette de son maillot. Le maillot s'ouvrit et dégagea des seins lourds et tombants. Fanny était celle qui avait le plus de formes des trois femmes et légèrement rondelette. Elle ne portait jamais de soutien-gorge pour la marche, et Maria et Camille non plus pour l'occasion, c'était leur truc à elles, leur devise. Fanny par derrière, malaxait les seins de Camille, elle souleva les seins et les pétrissait entre ses mains. Maria avait elle sa main dans le short de Fanny et commençait déjà à la masturber de l'intérieur.
Au loin, caché dans l'obscurité derrière des buissons, Sandra, qui avait éteint sa lampe pour ne pas se faire repérer, observait la scène à l'aide de son téléphone, zoomant sur ce qu'elle voyait, pour mieux observer. Pendant ce temps, nos trois femmes matures se faisaient plaisir sur la table. Fanny se retrouva vite allongée sur la table. Pendant que Camille et Maria se dénudées de leurs vêtements, Camille suçait les seins de Fanny et Maria lui léchant son vagin. Sandra voyant ses voisines se donner du plaisir si égoïstement entres-elles. Sandra était excité et commençant à se masser les seins à travers son maillot. A quelques mètres d'elle, toujours sur leur table, Camille, malgré ses deux grossesses, avait encore de beaux restes et un corps bien dessiné. Ses seins encore fermes étaient également sucés par Fanny. Maria était celle qui avait le moins de poitrine des trois, et c'était aussi la plus mince. Elle était occupée à lécher le clitoris de Fanny sur la table.
Sandra sentait l'excitation monter d'un cran, souleva son maillot ainsi que son soutien-gorge, ses gros tétons pointant d'excitation étaient en érection. Ses deux seins trop à l'étroit dans des vêtements trop serrés étaient compressés l'un contre l'autre. Sandra commença alors à toucher le bout de ses tétons, avant de presser l'un de ses mamelons, éjectant son lait par terre, en gémissant silencieusement. Elle pressa son second sein pour en vider du lait. Dans sa culotte c'était également l'inondation. Mais en bougeant, Sandra fit du bruit, ce qui interrompit nos trois femmes en chaleur. Sandra stoppa aussi ses préliminaires solitaires avant de se rhabiller et de partir à toute vitesse.
Notre trio, interrompu dans son orgie, se rhabilla et alla voir d'où venait le bruit, puis elles tombèrent sur des taches de liquide blanc par terre. Elles se dépêchèrent alors de rattraper le groupe qui était loin. En marchant pour retrouver le groupe, elles eurent la surprise de voir Sandra, seule, devant elles au loin. Un peu plus tard, nos quatre marcheuses rattrapèrent enfin le reste du groupe à la fin du parcours. Le reste du groupe demanda à Sandra si cette dernière s'était perdue. Sandra était gênée par la question et essayait de se justifier, lorsque, au moment de se quitter et que chacun rentrait chez soi, Fanny prit Sandra à part et murmura dans son oreille.
tunceli escort "Je crois que tu nous as laissé des traces tout à l'heure."
Sandra, devenue toute rouge d'avoir été prise à son propre jeu, se précipita pour rentrer chez elle. Une fois chez elle, elle se dépêcha d'aller se laver. Sous sa douche, Sandra ne pouvait s'empêcher de revoir la scène où ses voisines qui donnaient l'impression d'être des femmes modèles, étaient en fait des personnes avides de sexe et de plaisir charnel. Sandra finissait sa douche en se masturbant et en jouissant en solitaire avec le jet d'eau sur son clitoris.
La semaine suivante, Sandra remarqua aussi qu'en journée, ses voisines se voyaient entre elles. Elle s'imaginait alors de nouveaux scénarios avec ses voisines en plein ébat. Sandrine, malgré ses journées, s'ennuyait un peu quand même. Sandra attendait avec impatience la marche suivante pour revoir ses voisines. À la fin de la semaine le vendredi arriva enfin, la dernière marche était là. Toujours vêtue de sa tenue moulante et aguichante, Sandra fit comme les autres fois : elle suivait ses voisines dans leur détour sexuel quotidien. En ce qui concernait sa dernière cachette, Sandra ne vit que deux de ses voisines. Une silhouette derrière elle l'attrapa par surprise ; il s'agissait de Maria, qui avait agrippé Sandra par la taille et lui bloquait les bras.
Elle mena Sandra jusqu'à la fameuse table de pique-nique où l'attendaient Fanny et Maria. Camille leur dit alors. "Regardez qui j'ai trouvée en train de nous mater comme une perverse. " Puis, Fanny rajouta. " Sandra, si tu voulais participer, il suffisait de demander. "
Maria finit par pousser Sandra sur la table. Sandra était allongée. Camille et Fanny lui attrapèrent les mains. Maria se léchant déjà les lèvres devant sa proie, elle demanda à Fanny et Camille de relever Sandra. Maria se demanda. "Alors voyons voir ce qui se cache en dessous de ses vêtements trop serrés."
Maria prit le menton de Sandra en main, avant de faire descendre sa main jusqu'au milieu des seins de Sandra. Elle les tapota, puis les sous-pesa, à travers le tissu. Fanny et Camille lui demandèrent de se dépêcher, car elles voulaient aussi jouer avec Sandra.
Sandra était paralysée par la peur ou par l'excitation, mais son corps ne donnait aucune résistance. Maria souleva alors le maillot de Sandra. "Waouh, tu ne portes pas de soutifs. Magnifique paire de nichons ma jeunette." Le trio apprécia ce que Sandra présentait devant elles. Maria leur demanda alors de faire lever Sandra, elle lui baissa son short, ainsi que sa culotte qui était déjà légèrement mouillée. Maria dit alors à ses partenaires de jeu. "La petite poupée mouille déjà avant qu'on l'ait touchée."
Maria se redressa et commença à pétrir les seins de Sandra, avant de se concentrer sur les mamelons. Puis elle demanda à Camille. "Camille, tu te rappelles comment on fait encore pour extraire le lait?" Camille répondit. "Tiens-lui la main, je vais te montrer." Maria prit la relève de Camille et laissa Camille préparer le terrain. Camille débuta un massage autour des seins, avant de se concentrer sur le centre des mamelons, où les premières gouttes de lait perlaient des tétons. Sandra avait les yeux fermés, son excitation commençait à monter et un certain désir se faisait également sentir en elle, ce que le trio remarquait bien. Plus Camille massait les seins de Sandra, plus Sandra commençait à pousser des cris de plaisir.
Camille, voyant le lait commencer à se libérer, appa un mamelon en bouche avant de le téter goulûment, jouant avec le téton entre ses dents et sa langue. Sa seconde main frottait déjà son vagin et son clitoris. Après avoir savouré le premier sein, Camille s'attaqua au deuxième et le suça avec autant d'appétit que le premier, avant de dire à ses deux amantes. "À vous de jouer, les filles." Fanny et Maria ne se firent pas attendre une seconde.
Sandra, prise en sandwich par Maria et Fanny de chaque côté, commença à malaxer chacune un sein. Dans leur élan, elles ouvrirent leur haut qui s'ouvrait par devant, dévoilant leurs seins. L'appétit et la vue des gros seins de Sandra les excitaient au plus haut point. Oubliant de maintenir les mains de Sandra, elles avaient chacune un sein entre les mains, le caressant, le malaxant, avant de les tenir à deux mains et avant de le mettre en bouche. Aspirant les mamelons, telles des femmes affamées, le lait dégoulinant et débordant de leur bouche.Sandra avait désormais les mains libres et au lieu d'essayer
uþak escort de se débattre ou de s'échapper, elle attrapa un sein de Fanny et un sein de Maria, leur pinçant le téton à chacune. En bas, Camille était à genoux, la bouche ouverte, attendant que du lait ne lui tombe dans la bouche avant de le recracher sur le vagin de Sandra, qu'elle avait délicatement ouvert en deux. Puis, elle poussa Sandra sur la table pour qu'elle puisse s'y asseoir. Sandra était désormais totalement à découvert.
Camille écartera alors les cuisses de Sandra, découvrant son vagin légèrement poilu. Celui-ci était ouvert, charnu, chaud et humide, sa teinte oscillant entre le rose et le rouge, exprimant un mélange de plaisir et de désir. Sandra appelait, demandant à été baisé et plus l'attention pour ses seins. Camille s'occupait à la fois de lécher le vagin et de le stimuler avec ses doigts, tandis que Sandra se laissait aller au plaisir, pressant entre ses mains les seins de Fanny et Maria. Les gémissements de Sandra résonnaient dans le parc. Camille continua son exploration vaginale, avec un point d'importance sur le clitoris de Sandra.
Après avoir été autant sollicitée, tant au niveau des seins que du vagin, Sandra arriva à l'orgasme et jouit. Notre trio décida de changer de position : elles couchèrent Sandra sur la table. Puis chacune enleva son bas short, bermuda, avant de retirer sa culotte. Ensuite, Fanny se plaça en 69 sur Sandra, assise, ses fesses sur son ventre. Maria, quant à elle, était assise sur le visage de Sandra, et pour finir, Camille était à genoux sous la table. Sandra débuta un cunnilingus sur le vagin de Maria. Lui léchant son intimité humide de plaisir. Maria en profitant pour presser les seins de Sandra. Les seins de Sandra s'étant transformés en fontaine, le lait coulait à flot.
Fanny, elle, était à moitié couchée sur ventre de Sandra. elle lui broutait le vagin dans tous les sens. Sandra, à l'aide de ses mains, doigtait l'orifice de Fanny. Camille, qui était en bas, avait quant à elle écarté les cuisses de Sandra et elle lui lécha l'anus avant de le frotter avec son doigt et de l'introduire délicatement à l'intérieur. Les échanges de plaisir étaient à leur comble. De chaque côté, on pouvait entendre les bruits de succion et les langues lécher certaines parois humide. Sandra était devenue, le temps d'une soirée, la poupée sexuelle pour trois femmes qui cherchaient un peu plus de piment dans leur vie. Chacune continuait sa partie, à laquelle elle était occupée.
Camille, qui effleurait l'anus de Sandra, continuait à le stimuler, avant que celui-ci ne se dilate. Alors, elle prit une petite lampe de poche, elle le lui introduisit dans l'anus. Sandra fut sodomisée pour la première fois de sa vie avec une lampe de poche. Les va-et-vient, d'abord lents, devenaient de plus en plus rapides. De plus, Sandra avait atteint un tel plaisir que son corps se relâcha complètement. Fanny, qui lui léchait le clitoris, réussit progressivement à lui introduire une main entière dans le vagin, complètement dilaté et à la merci du trio en rut. Sandra explosait de plaisir, le point de non-retour était atteint.
Presque tous les orifices de Sandra étaient occupés, la pauvre femme ne sachant plus où se concentrer, tellement elle était mise à contribution. Maria, qui se faisait lécher le vagin, se léchait un sein pendant qu'elle malaxait un sein de Sandra. Maria, sodomisant Sandra avec sa lampe, se faisait plaisir en se doigtant en même temps. Le quatuor se donnait du plaisir mutuellement. Le ballet des langues et des doigts continuait entre les quatre femmes, Sandra distribuant son lait en continu. Elles prenaient leur pieds chacune leur tour. Notre trio se releva, et Sandra était étendue sur la table, à bout de souffle, en sueur.
Elles se retrouvaient autour de Sandra, et Camille dit alors : « Bienvenue dans le voisinage, Sandra. Tu fais désormais partie de notre groupe. » Sandra remercia, avant d'être à nouveau embrassée par Fanny, puis d'être caressée une dernière fois par Maria et Camille.
Après sa longue séance de marche nocturne, de retour chez elle, Sandra croisa son mari qui l'attendait dans le fauteuil avec leur bébé dans les bras. Sandra était toute chamboulée ; son mari lui demanda si tout s'était bien passé, car il la trouvait étrange. Sandra lui répondit qu'elle avait bien marché et qu'elle était fatiguée et couverte de sueur. Elle monta se laver sans rien dire de ce qu'elle venait de vivre.
Depuis ce soir-là, Sandra continua les marches nocturnes avec ses voisines et poursuivit sa pratique. Elle continuait à se faire baiser par ses voisines, qui venaient même lui rendre visite durant la journée. Camille, Fanny et Maria s'étaient trouvé une nouvelle occupation pour leurs longues journées et soirées de femmes au foyer. Sandra devenait leur poupée sexuelle.