Le Matriarcat Ch. 01

Note de l'auteur : Tous les personnages mis en scène dans cette histoire ont plus de 18 ans et n'existent que dans l'esprit de l'auteur.
Ça fait un petit moment déjà que j'avais envie de créer une histoire dans un monde où les femmes dominent et où les hommes sont à leur merci.
C'est chose faite avec ce premier chapitre.
Il sera vachement question d'humiliations en tout genres, de sexe non consenti, de sadisme, d'urine et de violences diverses et variée dans cette histoire. Vous êtes prévenus.
PS: Bonus si vous connaissez Solanas et Firestone

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Le fracas de la porte du couloir résonna à travers les murs de béton, puis à nouveau, le silence.
En fait on ne s'habitue jamais vraiment au bruit dans une cellule de prison. Un silence de plomb la plupart du temps, parfois entrecoupé par des claquements de portes, les aboiements de gardes, les bruits de bottes, les râles d'agonie.
Le genre de bruits qui avalent tout espoir, rendent l'air épais et comme irrespirable. Enfin, ce ne sont pas tant les bruits en eux même qui sont oppressants, mais c'est surtout ce qu'ils représentent.
A eux seuls ils constituent un rappel glaçant que la liberté est un lointain souvenir. Ici, en tant que prisonnier, j'en étais réduit à mon essence la plus pure : mon esprit, mon corps et mon âme, tous constamment sous attaque.
Et je sentais bien que mon enfermement allait les briser petit à petit tous les trois si je ne faisais rien.
Le claquement rythmique des talons sur le sol en béton se faisait de plus en plus fort, chaque pas résonnant avec une détermination inquiétante...
Alors que je regardais le mur de béton en face de moi, assis sur mon lit étroit, le froid s'infiltrant à travers le tissu mince de mon uniforme, j'essayais de reconstituer les événements qui m'avaient conduit dans cet endroit sinistre. C'était complètement futile. Un film absurde, plein de bruit et de fureur qui tournait en boucle dans mon esprit et ne m'offrait aucun réconfort. Mais au moins, ça m'occupait.
Le bruit métallique des clés tintant dans le couloir me tira de mes pensées. Ce bruit signifiait une chose : quelqu'un arrivait.
Ce n'était jamais une bonne une nouvelle.
La porte de ma cellule s'ouvrit en grinçant.
? Prisonnier 1234! Allez lève ton cul!
Depuis le coin du lit où j'étais prostré, je levais les yeux vers elle. L'officier Véra. Son uniforme était impeccable, un contraste frappant avec l'environnement crasseux et poussiéreux de ma cellule.
C'était une femme mince, d'une trentaine d'années environ, vêtue d'une petite robe noire en cuir qui couvrait complètement son torse, mettant sa poitrine en valeur, et s'arrêtait haut sur ses cuisses. Ses cheveux d'un noir de jais étaient ramenés en une longue queue de cheval haute, tenue par un tube ferme d'aspect métallique, de plusieurs centimètres de long, qui s'élevait de son crâne jusqu'à libérer ses cheveux. Cela produisait un effet impressionnant, et si sa tenue n'était pas déjà un signe qu'elle était la cheffe ici, ce petit détail achevait de m'envoyer un signal on ne peut plus clair.
? Allez! Dépêche! Tu as de la visite aujourd'hui asticot! »La gardienne avança dans ma direction sans me quitter des yeux, et mon regard fut attiré un temps par l'éclat lisse de ses cuissardes. « Une VIP! C'est fou non? Je me demande bien qui peut s'intéresser à un minable comme toi. Mais c'est vrai que t'es un garçon un peu spécial toi, hein? Môôôssieur vit dans le grand luxe ici!
Pour une raison qui m'échappait j'avais effectivement eu droit à ma propre cellule individuelle, avec de vraies toilettes, un lit, un petit lavabo avec de l'eau fraîche et même un oreiller. J'étais mieux traité en prison qu'à l'extérieur, ce qui était tout de même assez coquasse.
? Et tous les autres vermisseaux ici sont mais tellement jaloux! » poursuivit-elle. « En même temps il faut les comprendre, ils sont tous à l'étroit, comme des sardines dans une petite boîte de conserve, et ils dorment au milieu de leur propre merde! En plus, ils mangent nos restes, et je suis sûre qu'ils pleureraient de joie rien qu'à l'idée de boire l'eau sale dans tes chiottes! ils font tout comme des gorets, en fait, ce qui n'est pas très surprenant : un porc, un mec, tout ça c'est un peu pareil... Allez asticot, j'ai pas toute la journée! » aboya-t-elle en me donnant un coup de pied dans les jambes.
Je me levais péniblement en grognant, le corps encore perclus de douleur.
? Ah! C'est bien, tu peux encore bouger, même après la dérouillée que t'a pris sous la douche hier soir! J'imagine que le virus ne t'a pas trop déglingué toi!
C'était vrai, contrairement à beaucoup d'autres, j'avais survécu au virus qui avait touché la population masculine sans être trop endommagé. Là où beaucoup avaient vu leur taille rétrécir, leur musculature fondre et tous leurs poils et leurs cheveux tomber, j'avais miraculeusement gardé mon apparence d'avant.
? Tiens, comme le veut la procédure, je vais te mettre ça autour du coup. » dit-elle urfa escort en détachant une lanière en cuir de sa ceinture.
? Vous allez me mettre un collier, comme à un chien?
? Non, pas tout à fait comme un chien, puisqu'un chien c'est mignon. » répondit-elle du tac au tac en la passant autour de mon cou.
Je sentis le froid du matériau contre ma peau et j'entendis les deux bandes se rejoindre dans un petit claquement sec, comme attirées par des aimants. Au moins, il n'était pas trop serré. Je tendis alors mes poignets dans sa direction, docilement. Mieux valait éviter les gestes brusques ici.
? Non asticot, ma collègue Ambre m'a dit que t'aimais te faire attacher, mais pas cette fois. Notre VIP a insisté là-dessus : tu n'as pas besoin de menottes pour lui parler. Mais ne vas pas te faire des idées! Avec ton collier autour du cou, un faux mouvement et paf! Je t'électrocute. Alors ne fais pas le con! Par contre, je te dois te faire une petite fouille avant de t'amener, c'est la procédure, tu comprends...
J'étais presque sûr que c'était des conneries.
? Quoi?
? Allez, déshabille-toi » ordonna Véra.
? Je peux avoir un peu d'intimité au moins? » protestai-je.
? Non » sourit-elle en croisant les bras. « Déshabille-toi ou je le ferais pour toi. Tu n'as rien que je n'aie vu auparavant.
Il était évident qu'elle allait prendre plaisir à me regarder me dévêtir. Une humiliation de plus pour moi. Je retirai donc mes chaussures, mes chaussettes et mon uniforme orange de prisonnier et les plaçai sur le lit à côté de moi.
Je me tenais devant elle avec juste mon caleçon, attendant des instructions supplémentaires.
? Le caleçon aussi » sourit-elle cruellement.
? Je ne peux pas garder mes sous-vêtements? » plaidai-je.
? C'est une prison ici mon coco, tu ne portes que ce que je te laisse porter. Et tu peux t'estimer chanceux, si tu voyais les autres...
Cela ne me dérangeait pas de me mettre nu devant elle, mais je ne voulais pas non plus plier trop facilement. Je ne voulais pas qu'elle pense qu'elle avait tout pouvoir sur moi. J'hésitai brièvement, puis haussai les épaules, glissai mes pouces dans l'élastique de mon caleçon et le poussai vers le sol avant d'en sortir. Ma bite à moitié dure était exposée au grand air.
? Tu trouves ça excitant? » demanda Véra, en arquant un sourcil. « Les mecs sont vraiment dégueulasse, toujours obsédés...
? Pas exactement » ricanai-je mal à l'aise.
? Hmmm, tout à l'air en ordre de ce côté-là. Tourne-toi, pieds écartés et place tes deux mains sur le mur » ordonna Véra.
J'obéis sans rien dire.
? Hmmmm, tu as un joli petit cul » observa-t-elle. « Tu as déjà mis quelque chose dedans?
? Ça ne vous regarde pas! » répartis-je, totalement outré.
? Alors c'est oui » ria Véra. « T'as l'air d'être le genre de mec qui aime un peu d'action dans ce coin là. Et puis même si t'aimes pas, tu l'auras quand même... Laisse-moi juste rendre mes doigts bien glissants, pour que je puisse vérifier ton rectum.
Elle retira une petite bouteille de lubrifiant de sa ceinture et étala un peu de liquide sur mon anus. Puis je l'entendis verser du liquide sur un de ses doigts avant de sentir le bout sur mon anus.
? Alors voyons un peu ce que tu nous caches... » susurra Véra . « Détends-toi et tout se passera bien...
Je sentis la pression du bout de son doigt sur mon trou plissé et je me détendis pour la laisser entrer. Cela ne servait à rien de lutter, ça ne ferait que rendre son intrusion encore plus douloureuses. Il y eut un peu de résistance alors qu'elle poussait plus fort, puis un relâchement lorsqu'elle pénétrait dans mon cul. Je ne pus m'empêcher de pousser un doux gémissement de joie, involontaire. Malheureusement pour moi, elle l'entendit.
? Mais on dirait qu'il aime ça! » s'esclaffa-t-elle. « Je savais bien que l'asticot était un gros porc! Mon doigt s'est glissé facilement et tu n'as même pas bronché. Est-ce que ça te plaît, vermine?
? Bien sûr que non. Personne n'aime être abusé sexuellement!
? Je ne suis pas d'accord. Et puis, ce n'est pas un abus sexuel, c'est une fouille des cavités. Je ne fais que mon travail, c'est très différent. Maintenant... Fouillons bien méticuleusement » poursuivit Véra, non sans délices.
Son doigt se tortilla en moi, envoyant de petits frissons dans ma colonne vertébrale, comme des petites décharges d'électricité. Je savais que cela n'allait pas s'arrêter de si tôt et qu'elle l'avait déjà fait sur d'autres -- à plusieurs reprises.
? Je vais essayer avec deux doigts dans cinq minutes, histoire d'être sûre... » déclara Véra. « Mais d'abord, je vais vérifier tes couilles.
? Mais c'est n'importe quoi! » répondis-je. « Comment voulez-vous que je cache quoi que ce soit à ce niveau là?
? Ne commence pas à faire le malin, asticot! » aboya-t-elle. « Je fais juste mon travail.
Ses mains descendirent plus bas et elle palpa mes couilles, agressivement, les malaxant comme si c'était des boules sivas escort anti-stress, me faisant grogner de douleur. Elle ne cherchait rien, elle me faisait juste des attouchements pour son propre plaisir. Mais ma bitte était déjà dure malgré la rudesse de ses caresses.
? Tien tiens tiens, mais oui, on dirait que tu es quand même bien content de me voir? » Elle ria. « Tes couilles sont bien lourdes en plus.
? Allez-vous faire foutre » sifflai-je entre mes dents.
Mon commentaire fut accompagné d'une fessée violente, qui laissa probablement l'empreinte de sa main sur ma peau, et je la sentis retirer son doigt de mon anus.
? Je ne sens rien là-dedans. Mais peut-être que je devrais fouiller à nouveau avec plus de doigts, pour être sûre?
Elle lâcha mes couilles et remit du lubrifiant sur ses doigts pour les rendre à nouveau mouillés et gluants. Elle glissa ensuite deux doigts dans mon cul et commença à les tortiller dans tous les sens. La sensation était incroyable alors qu'elle s'enfonçait profondément dans mon sphincter.
? Ton cul est bien musclé et bien serré, asticot, mais on dirait bien qu'il n'est pas totalement étranger aux intrusions » ria Véra. « Tu aimes un peu l'anal, hein, asticot?
? Si tu le dis.
Je sentis Véra se rapprocher et mettre son visage derrière mon oreille. Son souffle était chaud contre mon cou et je me demandais ce qui allait suivre.
? Ne m'en veux pas, je ne fais que mon travail » susurra-t-elle en plaçant une mèche de mes longs cheveux derrière mon oreille tandis qu'elle commençait à glisser ses doigts dans et hors de mon anus.
Encore une fois, cela n'avait rien à voir avec une fouille de cavité, elle essayait de m'exciter. Elle souffla doucement dans mon oreille puis rapprocha sa bouche.
? Tu sens bon » ronronna-t-elle d'une voix haletante. « Tu as vraiment de la chance tu sais.
? En quoi est-ce que j'ai de la chance?
? Parce que je ne fais ça qu'aux beaux garçons... Tu devrais te sentir flatté.
C'était totalement malsain et révoltant. Je la sentis se rapprocher et elle m'embrassa dans le cou tandis que ses doigts entraient et sortaient de mon trou sale. Ses lèvres étaient douces et moelleuses alors qu'elle les pressait contre mon pouls. Je sentis mon pénis grossir encore plus et commencer à palpiter. Elle poussa un petit rire avant de me donner un autre doux baiser dans la nuque.
? Oh! On ne peut pas te présenter à notre VIP comme ça! » déclara-t-elle en voyant ma bite dressée. Elle retirant ses doigts de mes fesses et essuya sa main sur mon arrière train. « Tourne toi, bras écartés asticot!
Je m'éloignai du mur et fis ce qu'on me disait.
Ses lèvres étaient à quelques centimètres des miennes alors que je lui lançais un regard plein de défi. Ses yeux noirs comme des pierres étaient fixés sur les miens comme si nous organisions un concours de regards.
? Embrasse-moi » ordonna Véra.
? Quoi?
? Embrasse-moi.
? Non, je ne fais pas ça. Laissez moi remettre mon uniforme et emmenez-moi au rendez-vous.
? Mais on dirait que le prisonnier désobéit à un ordre! Tu sais que désobéir aux ordres en prison n'est vraiment pas une bonne idée asticot. Maintenant, je vais répéter : embrasse-moi.
Je restai immobile et continuai à la défier. Véra sourit comme si elle allait savourer la suite. Elle attrapa une petite télécommande à sa ceinture et pressa sur un bouton. Aussitôt, le collier à mon cou m'envoya une violente décharge.
? Maintenant, embrasse-moi! » cracha Véra. « Embrasse-moi ou je recommence!
Elle tira mon visage vers le sien alors que j'essayais de résister. Le collier me brûlait là où j'avais reçu la décharge et la tête me tournait légèrement. Je n'avais pas d'autre choix que de faire ce qu'elle disait sinon je m'évanouirais.
Je tendis les lèvres tandis qu'elle tirait ma tête vers la sienne. Elle se pencha et m'embrassa longuement sur les lèvres avant de s'éloigner.
? Mmmmm, c'était plutôt sexy » roucoula Véra . « Tu vois, asticot, ce n'était pas si terrible!
Cette femme était vile, mais ma bite était totalement dressée maintenant.
Elle me fixa ensuite quelques instants comme si elle me testait pour voir si j'allais riposter. Ça aurait été complètement futile et je préférerais être embrassé plutôt qu'électrocuté, alors je restais calme.
? Embrasse moi pour de vrai maintenant » dit Véra.
Je me penchais en avant et ouvris un peu les lèvres pour permettre à la langue de cette salope d'envahir ma bouche. Elle avait un goût de café rassis, mais au moins elle embrassait bien. Instinctivement, je lui rendis la pareille et enroulai ma langue autour de la sienne. Nos salives se mêlêrentt et elle posa une main sur ma joue et attrapa ma bite de l'autre, la serrant fort au point de me faire mal alors que son baiser s'intensifiait.
? Par Gaïa elle est bien raide! Je savais bien que t'aimerais ça » ricana Véra , en se séparant momentanément puis m'embrassant à nouveau avant que je puisse répondre.
Son baiser tekirdağ escort devint plus passionné et elle prit le contrôle. Je compris alors que toute cette mascarade n'avait qu'un but : me montrer qui commandait. Pour elle, je n'étais qu'un prisonnier parmi d'autres. J'étais sa propriété, un pantin avec lequel elle pouvait jouer comme elle voulait.
Véra rompit le baiser, tenant fermement ma bite. Je sentis l'autre main de Véra glisser sur mon ventre et sur mon pubis, puis le long de mon flanc et dans le bas de mon dos. Véra glissa ensuite ses doigts entre mes fesses et à nouveau dans mon anus.
? Mmmmh, tellement docile. Certaines de mes collègues vont vraiment t'adorer tu sais » rigola Véra.
Cette femme était vraiment bien entraînée à son petit jeu malsain. Tout s'était déroulé comme sur des roulettes, elle savait exactement quoi me faire pour pouvoir me faire jouir. Elle poussa deux doigts en moi et sa main continua à me caresser énergiquement. Elle m'embrassa le cou pendant qu'elle me violait analement.
Avec la plupart de mes zones érogènes abusées et malgré ma réticence, je réalisai que je n'allais jamais pouvoir retenir mon orgasme. Il grandissait en moi comme jamais auparavant alors que la gardienne de prison me violait.
Je n'avais aucune idée de ce qui se passait dans son esprit. Elle devait aimer les abus de pouvoir et le fait qu'elle me dominait et m'humiliait de la pire des manières.
Ma bite commença à palpiter tandis que Véra augmenta sa pression et son rythme, caressant ma bite de plus en plus vite.
? Elle devient de plus en plus raide » haleta Véra . « Putain, il adore ça ce gros queutard! Et je peux aussi sentir ton petit cul se serrer autour de mes doigts» ronronna Véra. « Tu va jouir bien fort!
Mon plaisir toujours croissant augmenta à un rythme exponentiel et mes jambes commencèrent à trembler.
Le sentiment d'extase naquit du plus profond de mon être. Je n'aurais jamais cru qu'être utilisé et maltraité de la sorte m'aurait fait jouir aussi rapidement. Je n'avais pas le choix, alors je restais là et je me laissais consumer. J'étais juste un jouet pour elle; un bout de viande; un mec violé de plus.
? Je vais le faire jouir » siffla Véra. « Mmmmh, il est proche maintenant, je peux presque le sentir.
L'entendre parler de moi comme si je n'étais même pas là, déclencha mon orgasme comme une explosion. Ma première éjaculation me fit crier fort et je faillis jaillir sur la main de Véra, comme si une conduite d'eau éclatait entre mes jambes.. Mon jus éclaboussa le bas de sa jupe et dégoulina sur sa cuissarde.
? Et beh! C'est une putain de giclée » haleta Véra . « Putain, je savais que tu étais sale.
? Oui... oh... putain... oui! » Je tremblai de manière incontrôlable.
D'autres giclées quittèrent mon corps et tombèrent sans grâce le sol sous moi. Elle poussa ses doigts dans mon trou du cul serré alors qu'il se contractait au rythme de mes éjaculations.
? Putain... ohhh... putain.
? Continue » ordonna Véra. « Je veux te voir te tortiller, comme un bon petit asticot. Je vais bien te traire pour que tu sois présentable pour ton rendez-vous.
Je me tortillais donc. Ses caresses devenant insupportables et commençaient à me faire mal alors que je continuais à jouir. Mes yeux roulèrent dans leurs orbites alors que l'obscurité se rapprochait. J'étais sur le point de m'évanouir à cause du plaisir brut et des abus. Elle dû sentir mes jambes céder car aussitôt que ça avait commencé, elle s'arrêta, me maintenant en place pour m'empêcher de toucher le sol.
? Quelle putain de petit queutard cet asticot! » cracha Véra en se moquant de moi. « Il a dit qu'il n'aimait pas ça et puis il a joui partout sur moi!
Elle retira son doigt de mes fesses et ria tandis que je reprenais mon souffle et que ma vision redevenait normale. Mon corps tout entier était faible et me picotait après un orgasme aussi involontaire que spectaculaire.
? Par contre tu as fait des tas de dégâts partout sur ma tenue asticot » souligna Véra. « C'est quand même un drôle de remerciement après que je t'ai fait jouir! Mais bon, tout le monde sait bien que les mecs sont des égoïstes et des ingrats. Que vais-je bien pouvoir faire... » demanda-t-elle en tapotant son menton et en prenant un air faussement interrogatif. Puis, elle claqua des doigts, comme si elle avait eu une illumination. « Je sais! Je vais te faire nettoyer!
? Quoi? » protestai-je. « Non, je ne ferais pas ça! Vous vous êtes bien amusée avec moi, maintenant laissez-moi aller au rendez-vous.
Elle tira mes cheveux en arrière avec violence et me força à me mettre à genoux.
? Tu es plus ingrat que ce que je pensais » gronda-t-elle. « Je viens de te faire jouir. Maintenant, tu dois me nettoyer. Ma jupe et mes mes cuissardes sont souillées par ton sperme collant. Tu salis, tu nettoies. C'est pourtant simple, non? Et puis je suis sûre que tu as déjà léché du sperme, comme une bonne pupute » se moqua Véra.
? C'est tellement mal. Ce que vous faites est un abus de pouvoir » protestai-je.
? Tu ne semblais pas te plaindre il y a une minute quand je t'ai fait jouir » dit Véra , elle approcha sa botte souillée de mon visage, l'odeur du sperme était si forte et écoeurante qu'elle me piquait les yeux. « Regarde un peu le bordel que tu as foutu.